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À DÉFAUT DE « FLUNCHER », NOUS NE DEVONS PAS « FLANCHER » !

Malgré des millions d’euros d’aides publiques versées à l’enseigne Flunch, malgré un résultat positif en 2019, malgré une mise en chômage partiel depuis mars 2020, Flunch a décidé de se séparer d’une partie de son parc de restaurants !
Le 27 janvier dernier la direction de Flunch annonçait sa volonté de céder à la franchise 57 restaurants, soit près de 1300 postes menacés.
Plus de la moitié des restaurants en région parisienne sont fortement impactés : 12 restaurants sont concernés par ce projet.

Les salariés ont fait beaucoup de sacrifices, malgré un salaire au SMIC et des conditions de travail difficiles. Les salariés de Flunch sont attachés à leur restaurant, et à leur emploi.
C’est avec stupéfaction qu’ils ont découvert que leur restaurant était concerné par ce projet de fermeture, dans le cadre d’une procédure de sauvegarde déposée au tribunal : Flunch Villebon, Villabé, Melun Cesson, Maurepas, Rambouillet, Osny Pontoise, Claye-Souilly, Varennes, Fontenay, Bonneuil, Aubervilliers, Saint Brice.
Ce sont 296 emplois menacés en Île-de-France.

La Fédération CGT Commerce et Services et la CGT Flunch revendiquent que chaque salarié qui le souhaite soit reclassé dans les entreprises de la galaxie Mulliez, qui n’a cessé de ponctionner des dividendes et voudrait faire payer ses choix stratégiques aux salariés Flunch.
Quand Flunch se régale, ce sont les salariés qui sont à la diète !

Communiqué CGT Fédération Commerce du 10 février 2021

Article publié le 17 février 2021.


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